Nous aimons les fêtes, les convivialités, les rituels, les mémoires et les transmissions. Ils décrivent souvent, bien plus qu’un long discours, l’âme d’une société. Nous saisissons ainsi sur le vif sa profondeur et ses transformations sociales et culturelles. Nous découvrons alors sa structure et le mouvement d’équilibre ou de déséquilibre de ses composantes. Une fois par an à l’équinoxe de printemps, le festival exprime tous ces flux, ces reflux, ces écumes, ces remous, ces paroles. Le Festival des migrations, des cultures et de la citoyenneté est aujourd’hui le désir pour demain.